Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Cancer : imagerie publique – privée à l’Institut de cancérologie du Gard (ICG)

Auteur /Etablissement :
Nouvelle étape dans le développement de l'offre de soins de l’Institut de cancérologie du Gard avec le démarrage de l’imagerie en coupe (IRM) qui sera assurée par les radiologues du CHU et de la SAS Nemoscan à partir du lundi 6 juillet 2015. Cette activité intervient après l'ouverture de la radiothérapie et les consultations d’oncologie et d’hématologie le 15 juin 2015. Pour le CHU, la troisième phase concernera les services d’hospitalisation mi-septembre.

Nouvelle étape dans le développement de l’offre de soins de l’Institut de cancérologie du Gard avec le démarrage de l’imagerie en coupe (IRM) qui sera assurée par les radiologues du CHU et de la SAS Nemoscan à partir du lundi 6 juillet 2015. Cette activité intervient après l’ouverture de la radiothérapie et les consultations d’oncologie et d’hématologie le 15 juin 2015. Pour le CHU, la troisième phase concernera les services d’hospitalisation mi-septembre. Cette nouvelle organisation apporte une amélioration pour les patients en termes de réduction des délais et d’harmonisation des prises en charge.
IRM à 30 jours
Actuellement, le CHU de Nîmes possède 2 IRM et Nemoscan 3 IRM. L’acquisition d’un appareil supplémentaire, partagé à 50 % entre le CHU et Nemoscan permet de diminuer le délai d’attente des patients à qui un examen par IRM a été prescrit, l’objectif étant de ne pas excéder un délai d’un mois entre la prise de rendez-vous et la réalisation de l’examen (l’objectif national fixé par l’Institut national du cancer – INCA – étant de 20 jours maximum).
Les prises de rendez-vous et les actes de manipulation seront assurés par des personnels du GIE. Le numéro de prise de rendez-vous est un numéro unique : 04 48 27 01 40.
L’activité d’imagerie à l’Institut de cancérologie du Gard a donné lieu à la création en juillet 2014 d’un Groupement d’intérêt économique (GIE), établi entre le CHU de Nîmes et la SAS Nemoscan, qui rassemble plusieurs radiologues de Nîmes et de sa région. Ce GIE, qui organise le partage de l’activité d’imagerie entre opérateurs publics et opérateurs privés concerne les actes d’IRM (imagerie par résonance magnétique). Le GIE a, dans ce cadre, acquis une IRM qui complète l’offre pour des examens spécialisés en imagerie cancérologique (IRM de diffusion corps entier notamment) dans la région.
À compter de septembre, et à l’aune du regroupement à l’ICG d’autres équipements d’imagerie dédiés, les activités de mammographie-échographie, de radiologie et d’échographie polyvalentes seront déployées dans le nouvel Institut et assurées également conjointement par des médecins radiologues du CHU et des médecins radiologues libéraux de ville. Des examens de radiologie et d’imagerie non relatifs à une pathologie cancéreuse pourront être assurés au sein de l’ICG afin de bénéficier des équipements de dernière génération. Au total, plus de 18 000 personnes sont attendues par an en radiologie dont 8 000 en IRM.

Sur le même sujet

Pour préserver sa fertilité, on lui déplace l’utérus au niveau du nombril

Dans le cadre de la prise en charge d’une patiente atteinte d’un sarcome d’Ewing au niveau de la cloison recto-vaginale, le Pr Cherif Akladios, chef du pôle de gynécologie, obstétrique et fertilité aux Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, a réalisé un geste spectaculaire et inédit en France. En déplaçant son utérus au niveau de son ombilic, le chirurgien et son équipe ont sans doute permis à la jeune femme de préserver sa fertilité.

« Développer la chirurgie robotique, c’est faire face à beaucoup d’embûches »

A l’occasion d’une série de reportages au CHU de Nice, nous avons suivi le Pr Matthieu Durand, chef du service d’urologie, andrologie et transplantation rénale. Ce dernier a accepté de partager sa vision sur le développement de la chirurgie robotique au bloc opératoire. Dans son service, une attention particulière est donnée à l’enseignement avec 100% d’internes formés à la robotique. Un entretien au carrefour de la formation et de l’innovation.

Dossier : le diabète

Le 14 novembre était la journée mondiale du diabète. Une maladie répandue mais complexe. Environ 537 millions d’adultes vivent avec le diabète dans le monde. En France en 2020, plus de 4,2 millions de personnes vivent avec un diabète, soit 6,1 % de la population. Le diabète est plus fréquent chez les hommes que chez les femmes, à l’exception des territoires ultra-marins où les femmes sont les plus touchées.

Face à l’explosion des demandes de PMA, les CECOS dans l’inquiétude

Depuis la promulgation de la loi de bioéthique il y trois ans, les demandes d’aide à la procréation médicalisée ont explosé. En face de cette dynamique, le nombre de donneurs de spermatozoïdes, lui, est en baisse. Un constat aussi valable pour le don d’ovocytes et qui inquiète les professionnels des Centres d’études et de conservation des œufs et du sperme humain. Ces derniers n’ont que quelques mois pour reconstituer leurs banques de gamètes, désormais régies par la levée de l’anonymat des donneurs. Reportage au CHRU de Tours.