Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Martine Aubry, Présidente du Conseil de surveillance du CHRU de Lille

Auteur /Etablissement :
Suite à l'arrêté du Directeur Général de l'Agence Régionale de l'Hospitalisation Nord-Pas-de-Calais, en date du 2 juin 2010, fixant la composition nominative du Conseil de Surveillance du Centre Hospitalier Régional Universitaire de Lille, Madame Martine Aubry a été élue présidente de ce conseil lors de la réunion d'installation qui s'est déroulée le 17 juin 2010.

Suite à l’arrêté du Directeur Général de l’Agence Régionale de l’Hospitalisation Nord-Pas-de-Calais, en date du 2 juin 2010, fixant la composition nominative du Conseil de Surveillance du Centre Hospitalier Régional Universitaire de Lille, Madame Martine Aubry a été élue présidente de ce conseil lors de la réunion d’installation qui s’est déroulée le 17 juin 2010.

A cette occasion, Madame Aubry a déclaré : « Cette nouvelle gouvernance de notre CHU, qui se met en place aujourd’hui, ne doit pas casser ce que nous avons jusqu’alors construit avec le directeur général, Monsieur Didier Delmotte, à savoir mener un dialogue quotidien et approfondi avec l’ensemble des acteurs de l’établissement : médecins, cadres, personnels, organisations syndicales.

Elle a poursuivi en insistant particulièrement sur les investissements et les projets multiples en cours, comme la rénovation des services de réanimation, du centre de traitement des brûlés et des urgences qui sont « la preuve de la détermination de tous à construire une politique de santé d’excellence et à la hauteur des enjeux régionaux ».
Et elle a conclu sur le fait que « Outre une organisation optimale de ses missions de recours et d’innovation, le CHRU de Lille se donne comme priorité de proposer une offre de soins adaptée aux besoins de santé publique sur son territoire local, régional et interrégional. Il n’oublie pas de préparer l’avenir et c’est le sens de l’effort fait en matière de recherche et de formation qui est au coeur des missions de nos CHU ».

La Composition du Conseil de Surveillance
Sont membres du conseil de surveillance avec voix délibérative :

1/ en qualité de représentant des collectivités territoriales

– Madame Martine AUBRY, maire de la commune de LILLE ;
– Monsieur Roger VICOT, représentant le président du conseil général du département du NORD ;
– Monsieur Hervé POHER, représentant du conseil général du département du PAS-DE-CALAIS ;
– Madame Cécile BOURDON, représentante du conseil régional de la région NORD – PAS-DE-CALAIS (sous réserve de la délibération de l’assemblée du Conseil Régional) ;
– Le représentant de Lille Métropole Communauté Urbaine (en cours de désignation)

2/ en qualité de représentant du personnel

– Madame le Professeur Annie SOBASZEK et Monsieur le Docteur Christian ERB, représentants de la commission médicale d’établissement ;
– Madame Sandrine ROUSSEL, représentante de la commission de soins infirmiers, de rééducation et médico-techniques ;
– Monsieur Philippe CREPEL et Monsieur Francis PLUQUET, représentants désignés par les organisations syndicales
3/ en qualité de personnalité qualifiée

– Monsieur Claude GALAMETZ et Monsieur le Docteur Jean-François RAULT, personnalités qualifiées désignées par le Directeur Général de l’Agence Régionale de Santé ;
– Monsieur Bertrand de TALHOUET, personnalité qualifiée désignée par le Préfet du NORD ;
– Monsieur Dominique COLICHE (UFC QUE CHOISIR) et Monsieur Jean-François HILAIRE (UDAF), représentants des usagers désignés par le Préfet du NORD.

Sont membres du conseil de surveillance avec voix consultative :

– Monsieur le Professeur Alain DESTEE, Premier Vice-Président du Directoire du Centre Hospitalier Régional et Universitaire de LILLE ;
– Monsieur Daniel LENOIR, Directeur Général de l’Agence Régionale de Santé Nord- Pas-de-Calais ;
– Monsieur le Professeur François-René PRUVOT, représentant de la structure chargée de la réflexion d’éthique au sein du Centre Hospitalier Régional et Universitaire de LILLE ;
– Monsieur Antoine CHATAIGNIER, Directeur de la Caisse d’Assurance Maladie de LILLE – DOUAI, à LILLE ;
– Monsieur le Professeur Didier GOSSET, Directeur de l’unité de formation et de recherche médicale.
– Le représentant des familles de personnes hébergées en Unité de Soins de Longue Durée ou en Etablissements d’Hébergement pour Personnes Agées

Sur le même sujet

Pour préserver sa fertilité, on lui déplace l’utérus au niveau du nombril

Dans le cadre de la prise en charge d’une patiente atteinte d’un sarcome d’Ewing au niveau de la cloison recto-vaginale, le Pr Cherif Akladios, chef du pôle de gynécologie, obstétrique et fertilité aux Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, a réalisé un geste spectaculaire et inédit en France. En déplaçant son utérus au niveau de son ombilic, le chirurgien et son équipe ont sans doute permis à la jeune femme de préserver sa fertilité.

« Développer la chirurgie robotique, c’est faire face à beaucoup d’embûches »

A l’occasion d’une série de reportages au CHU de Nice, nous avons suivi le Pr Matthieu Durand, chef du service d’urologie, andrologie et transplantation rénale. Ce dernier a accepté de partager sa vision sur le développement de la chirurgie robotique au bloc opératoire. Dans son service, une attention particulière est donnée à l’enseignement avec 100% d’internes formés à la robotique. Un entretien au carrefour de la formation et de l’innovation.

Dossier : le diabète

Le 14 novembre était la journée mondiale du diabète. Une maladie répandue mais complexe. Environ 537 millions d’adultes vivent avec le diabète dans le monde. En France en 2020, plus de 4,2 millions de personnes vivent avec un diabète, soit 6,1 % de la population. Le diabète est plus fréquent chez les hommes que chez les femmes, à l’exception des territoires ultra-marins où les femmes sont les plus touchées.

Face à l’explosion des demandes de PMA, les CECOS dans l’inquiétude

Depuis la promulgation de la loi de bioéthique il y trois ans, les demandes d’aide à la procréation médicalisée ont explosé. En face de cette dynamique, le nombre de donneurs de spermatozoïdes, lui, est en baisse. Un constat aussi valable pour le don d’ovocytes et qui inquiète les professionnels des Centres d’études et de conservation des œufs et du sperme humain. Ces derniers n’ont que quelques mois pour reconstituer leurs banques de gamètes, désormais régies par la levée de l’anonymat des donneurs. Reportage au CHRU de Tours.