Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

www.chu-montpellier.fr : bienvenue dans la nouvelle version

Auteur /Etablissement :
2 000 internautes, patients et visiteurs, acteurs de santé, chercheurs, étudiants… se connectent chaque jour le site Internet du CHRU de Montpellier. Pour rendre leur visite plus conviviale, le CHU vient de mettre en ligne une nouvelle version : design épuré, valorisation des expertises, accès immédiat aux actualités et à l’agenda. Plus simple aussi la recherche d'un spécialiste ou d'un service grâce à l’intégration d’annuaires.

2 000 internautes, patients et visiteurs, acteurs de santé, chercheurs, étudiants… se connectent chaque jour le site Internet du CHRU de Montpellier. Pour rendre leur visite plus conviviale, le CHU vient de mettre en ligne une nouvelle version : design épuré, valorisation des expertises, accès immédiat aux actualités et à l’agenda. Plus simple aussi la recherche d’un spécialiste ou d’un service grâce à l’intégration d’annuaires.
Et pour préparer son arrivée, les livrets d’accueil et les plaquettes des services sont téléchargeables sous la rubrique docuthèque. Chaque département bénéficie d’une présentation détaillée : descriptif de l’activité du département, la liste des médecins et leurs contacts (numéros de téléphone pour la prise de rendez-vous, etc.).  Des données qui peuvent être actualisées en direct par l’unité.
En page d’accueil, focus sur les traitements innovants, les dernières acquisitions d’équipements, les progrès dans la recherche médicale ou encore des projets de modernisation
L’accent mis sur la recherche
Sixième hôpital de France pour sa production en matière de recherche, le CHRU de Montpellier consacre, un espace important aux activités de recherche médicale : descriptif des projets en cours et des principales avancées à l’actif des équipes montpelliéraines.
Axe fort l’enseignement avec une rubrique formation des professionnels qui renseigne les internes – plus de 700 – et les étudiants paramédicaux – plus de 1 100 – qui fréquentent ses 10 écoles chaque année.
A la Une
Pour informer la presse en temps réel, le CHRU met à la disposition des journalistes l’ensemble des communiqués et dossiers de presse qu’il publie ainsi que les contacts et personnes ressources. Les journalistes pourront aussi télécharger les procédures à suivre pour les demandes de reportages et les tournages de films. Progressivement, l’espace sera enrichi d’illustrations.
www.chu-montpellier.fr

Sur le même sujet

Pour préserver sa fertilité, on lui déplace l’utérus au niveau du nombril

Dans le cadre de la prise en charge d’une patiente atteinte d’un sarcome d’Ewing au niveau de la cloison recto-vaginale, le Pr Cherif Akladios, chef du pôle de gynécologie, obstétrique et fertilité aux Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, a réalisé un geste spectaculaire et inédit en France. En déplaçant son utérus au niveau de son ombilic, le chirurgien et son équipe ont sans doute permis à la jeune femme de préserver sa fertilité.

« Développer la chirurgie robotique, c’est faire face à beaucoup d’embûches »

A l’occasion d’une série de reportages au CHU de Nice, nous avons suivi le Pr Matthieu Durand, chef du service d’urologie, andrologie et transplantation rénale. Ce dernier a accepté de partager sa vision sur le développement de la chirurgie robotique au bloc opératoire. Dans son service, une attention particulière est donnée à l’enseignement avec 100% d’internes formés à la robotique. Un entretien au carrefour de la formation et de l’innovation.

Dossier : le diabète

Le 14 novembre était la journée mondiale du diabète. Une maladie répandue mais complexe. Environ 537 millions d’adultes vivent avec le diabète dans le monde. En France en 2020, plus de 4,2 millions de personnes vivent avec un diabète, soit 6,1 % de la population. Le diabète est plus fréquent chez les hommes que chez les femmes, à l’exception des territoires ultra-marins où les femmes sont les plus touchées.

Face à l’explosion des demandes de PMA, les CECOS dans l’inquiétude

Depuis la promulgation de la loi de bioéthique il y trois ans, les demandes d’aide à la procréation médicalisée ont explosé. En face de cette dynamique, le nombre de donneurs de spermatozoïdes, lui, est en baisse. Un constat aussi valable pour le don d’ovocytes et qui inquiète les professionnels des Centres d’études et de conservation des œufs et du sperme humain. Ces derniers n’ont que quelques mois pour reconstituer leurs banques de gamètes, désormais régies par la levée de l’anonymat des donneurs. Reportage au CHRU de Tours.