Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Artures fait swinguer Orléans et Blois

Auteur /Etablissement :
Du 18 au 27 juin, plus de quarante spectacles musicaux seront proposés aux patients des établissements d'Orléans et de Blois, aux Orléanais et Blésois dans les espaces hospitaliers des deux villes exceptionnellement transformés en salles de concerts. A l'affiche, toute la diversité musicale du monde, cornemuse, salsa, musique berbère, jazz, folk, pop, chant… « Artures est un festival d'échanges entre les hommes, entre les cultures et entre les sons ! » résument Vincent Vellard,Directeur artistique de l'association et Catherine Gautier, Responsable culturelle du CHR d'Orléans.

Du 18 au 27 juin, plus de quarante spectacles musicaux seront proposés aux patients des établissements d’Orléans et de Blois, aux Orléanais et Blésois dans les espaces hospitaliers des deux villes exceptionnellement transformés en salles de concerts. A l’affiche, toute la diversité musicale du monde, cornemuse, salsa, musique berbère, jazz, folk, pop, chant… « Artures est un festival d’échanges entre les hommes, entre les cultures et entre les sons ! » résument Vincent Vellard,Directeur artistique de l’association et Catherine Gautier, Responsable culturelle du CHR d’Orléans.

Après avoir enchanté les murs de l’hôpital d’Orléans pendant 14 ans, le festival de musique du CHR « Les Musicales » s’étend vers l’ouest, direction le Centre hospitalier de Blois ! C’est désormais sous la bannière d’« ARTURES » du nom de l’association fondatrice que sont conviés tous les styles musicaux dans les espaces d’accueil et les chambres des deux établissements de la région Centre.

Intensité, dynamisme, respect du milieu hospitalier, Artures est une aventure partagée avec l’ensemble des personnels de Blois et d’Orléans, responsables administratifs, personnel médical et soignant et secteurs techniques… Un seul mot d’ordre : le respect de la qualité de la prise en charge des patients, des groupes musicaux, de l’organisation…

Surprise, les professionnels tutoieront les amateurs parmi lesquels on pourra reconnaître des membres du personnel hospitalier…

Sur le même sujet

Pour préserver sa fertilité, on lui déplace l’utérus au niveau du nombril

Dans le cadre de la prise en charge d’une patiente atteinte d’un sarcome d’Ewing au niveau de la cloison recto-vaginale, le Pr Cherif Akladios, chef du pôle de gynécologie, obstétrique et fertilité aux Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, a réalisé un geste spectaculaire et inédit en France. En déplaçant son utérus au niveau de son ombilic, le chirurgien et son équipe ont sans doute permis à la jeune femme de préserver sa fertilité.

« Développer la chirurgie robotique, c’est faire face à beaucoup d’embûches »

A l’occasion d’une série de reportages au CHU de Nice, nous avons suivi le Pr Matthieu Durand, chef du service d’urologie, andrologie et transplantation rénale. Ce dernier a accepté de partager sa vision sur le développement de la chirurgie robotique au bloc opératoire. Dans son service, une attention particulière est donnée à l’enseignement avec 100% d’internes formés à la robotique. Un entretien au carrefour de la formation et de l’innovation.

Dossier : le diabète

Le 14 novembre était la journée mondiale du diabète. Une maladie répandue mais complexe. Environ 537 millions d’adultes vivent avec le diabète dans le monde. En France en 2020, plus de 4,2 millions de personnes vivent avec un diabète, soit 6,1 % de la population. Le diabète est plus fréquent chez les hommes que chez les femmes, à l’exception des territoires ultra-marins où les femmes sont les plus touchées.

Face à l’explosion des demandes de PMA, les CECOS dans l’inquiétude

Depuis la promulgation de la loi de bioéthique il y trois ans, les demandes d’aide à la procréation médicalisée ont explosé. En face de cette dynamique, le nombre de donneurs de spermatozoïdes, lui, est en baisse. Un constat aussi valable pour le don d’ovocytes et qui inquiète les professionnels des Centres d’études et de conservation des œufs et du sperme humain. Ces derniers n’ont que quelques mois pour reconstituer leurs banques de gamètes, désormais régies par la levée de l’anonymat des donneurs. Reportage au CHRU de Tours.