Ophtalmologie : le 126e congrès de la SFO se tiendra en ligne
Le 126e congrès de la Société Française d’Ophtalmologie se tiendra sous forme digitale et en direct les 5 et 6 septembre 2020 sur SFO-online.
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Ophtalmologie : branche de la médecine qui étudie l’anatomie, la physiologie et la pathologie de l’œil et de la vision. Des maladies peuvent avoir une origine génétique et causer des cécités handicapantes.
Le 126e congrès de la Société Française d’Ophtalmologie se tiendra sous forme digitale et en direct les 5 et 6 septembre 2020 sur SFO-online.
Le service Ophtalmologie du CHU de Clermont-Ferrand met en œuvre une avancée technologique pour la chirurgie réfractive au laser. Cette opération de correction de la vue nécessite une plateforme chirurgicale de qualité, qui désormais, prend en compte la dernière avancée « transépithélial PKR ». Celle-ci permet de réaliser la désépithélialisation au laser, c’est-à-dire d’enlever la partie superficielle de la cornée pour pouvoir faire pénétrer plus profondément le rayon dans les tissus de l’œil. Cette technique était anciennement réalisée de façon mécanique par le chirurgien.
Les patients souffrant de troubles visuels dus à des anomalies de la cornée n’ont souvent d’autres alternatives que la greffe de cornée pour améliorer leur vision. Depuis un peu plus de six mois, le service d’Ophtalmologie du CHU Dijon Bourgogne propose un nouveau traitement, la greffe de cornées lamellaires postérieures. À ce jour, plus de vingt personnes ont bénéficié de cette chirurgie peu invasive.
Le Département d’ophtalmologie du CHU de Montpellier s’est doté, depuis novembre 2018, d’un microscope opératoire de dernière génération intégrant la technologie OCT. Le CHU de Montpellier est ainsi le premier CHU d’Occitanie à réaliser les greffes de cornée grâce à un microscope avec scanner intégré de dernière génération.
Evolucare, PME spécialisée dans système d’information hospitalier, et ADCIS, PME spécialisée dans le domaine du traitement et de l’analyse d’images, annoncent la signature d’un contrat de licence exclusive et mondiale avec la SATT (1) Ouest Valorisation et l’AP-HP à l’occasion du Consumer Electronics Show (CES ) 2019 à Las Vegas. Objectif : révolutionner le dépistage de la rétinopathie diabétique (RD).
Depuis l’été 2018, le service d’ophtalmologie du CHU de Toulouse s’est doté d’un dispositif de visualisation 3D de l’intérieur de l’œil. Un progrès synonyme de qualité et de confort pour les patients et le chirurgien. L’innovation repose sur le port de lunettes polarisées 3D associées à un écran. Grâce à la profondeur du champ, les structures situées sur des plans différents apparaissent très nettement, ce qui évite de solliciter le focus du microscope. De plus, la gestion numérique des contrastes, des couleurs et de la luminosité de l’image limite l’énergie lumineuse délivrée à l’œil. La démarche est donc moins photo-toxique pour le patient, c’est-à-dire moins délétère pour les structures de l’œil, notamment la rétine.
Des praticiens du CHU de Montpellier réalisent des consultations d’ophtalmologie au Centre Hospitalier de Clermont-l’Hérault. Une démarche qui permet d’articuler des prises en charge de proximité avec des soins plus spécialisés réservés aux établissements de recours.
Le nouveau centre d’explorations et thérapeutiques du CHU de Poitiers regroupe neuf disciplines médicales et propose des interventions diagnostiques et thérapeutiques. Il s’agit d’un plateau technique, destiné aux médecins, qui propose un parcours sous anesthésie générale – pour des actes douloureux, notamment – et un parcours sous anesthésie locale.
Un après l’achat d’un laser excimer pour l’activité de chirurgie réfractive (opération de la myopie) coordonnée par le Pr Alexandre Denoyer au CHU de Reims, un projet de recherche basé sur l’utilisation d’un second Laser dit « femtoseconde » permet de développer plus encore la chirurgie ophtalmologique au laser, pour la cataracte comme la chirurgie réfractive.
La pathologie de l’œil sec est en passe de devenir la nouvelle maladie du siècle en raison de l’intense vie numérique de nos prunelles et du vieillissement de la population. Vue troublée, instable, accompagnée d’une sensation d’inconfort, de brûlure, de grain de sable, de larmoiement paradoxale… Ces symptômes sont de plus en plus fréquents. Pour les expliquer, les spécialistes pointent des déficits en qualité du film lacrymal et en sécrétion d’eau par la glande lacrymale principale. La chronicité s’installe quand ces deux points faibles sont cumulés. Pour traiter cette affection, l’unité d’ophtalmologie spécialisée du CHU de Bordeaux propose des soins Et un accompagnement personnalisés du patient. Explications…