Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

HospiTV.com : La 1ère chaîne de télévision hospitalière en ligne

Auteur /Etablissement :
Le Magazine Hospitalier va surprendre ses lecteurs par sa nouvelle forme ! En cliquant sur www.hospitv.com, ils découvriront les temps forts de la profession en images et en reportages vidéo dans des JT 100% hospitaliers et 100 % numériques.

Le Magazine Hospitalier va surprendre ses lecteurs par sa nouvelle forme ! En cliquant sur http://www.hospitv.com, ils découvriront les temps forts de la profession en images et en reportages vidéo dans des JT 100% hospitaliers et 100 % numériques.

A la tête de la web TV, le tandem Charles Cardine, éditeur et François-Arnaud Casalis, directeur de la rédaction. Tous deux partagent la passion de l’information hospitalière et manifestent un même engouement pour les diffusions originales. Souvenez-vous, en 2007 leur magazine avait été un des premiers trimestriels spécialisés sur l’hôpital à être distribué en kiosque. Aujourd’hui, ils répondent aux questions de RESEAU CHU.

Réseau CHU : La télévision hospitalière avait déjà son festival*, il lui manquait sa chaîne en ligne. L’idée était dans l’air depuis quelques années, pourquoi avoir sauté le pas en ce mois de mai 2009 ?

Charles Cardine : L’hôpital se modernise à une cadence accélérée. Il devient donc nécessaire d’informer en temps réel les hospitaliers de cette évolution tant technologique que structurelle. La déclinaison WEB TV du Magazine Hospitalier apparaît tout naturellement comme la réponse la plus appropriée à cette évolution.

François-Arnaud Casalis : Le média audiovisuel permet d’humaniser l’information proposée aux professionnels du monde hospitalier et de la rendre plus vivante. Internet permet une souplesse d’utilisation et une réactivité sans commune mesure avec les autres supports. L’alliance des deux techniques donne vie à un média original et dynamique à même de répondre aux attentes des professionnels de la santé en France.

RCHU : Quelle est votre ligne éditoriale et la périodicité des reportages ?

FAC : Hospi TV décline deux formats d’information. D’une part, l’actualité « chaude », celle du temps présent, c’est-à-dire les événements qui rythment la vie des hospitaliers du secteur public mais aussi du secteur privé et privé non lucratif. Nous appuyons sur l’actualité médicale, l’actualité sanitaire et l’actualité proprement hospitalière pour proposer des reportages au format 1 minute 30, mis en ligne en flux tendus puis regroupés dans une édition hebdomadaire.

D’autre part, Hospi TV propose des reportages de 3 minutes de fond sur des thématiques hospitalières (médecine, chirurgie, pharmacie, stérilisation, hygiène, TIC, …) réalisés dans des établissements de santé. Nous proposons entre 2 et 4 reportages de ce type par semaine.

Nous mettons bien évidement l’accent sur les CHU et CHR de France, où nous pouvons réaliser des reportages de grande qualité grâce au fait que ces établissements sont à la pointe de l’innovation médicale, managériale et sur les « fonctions supports » comme l’informatique ou la logistique dans son ensemble.

Les premiers reportages ont pour titre : Cryothérapie, Dématérialisation des dossiers patients, Désinfection d’endoscopes, Diagnostiquer les AVC à distance, Eric Martin-président de l’association H 360, Mise en securite incendie, Plateforme d’expertise radiologique, Première greffe de cornée artificielle, Transport pneumatique de prélèvement, Transports lourds automatisés…

RCHU : Votre équipe s’est étoffée. Quels sont les nouveaux membres ?

CC : En effet, nous ont rejoint Florence Roque, rédactrice en chef (après avoir été journaliste à LCI elle a travaillé au service de la communication de la FEHAP), Etty Abergel et Anaëlle Blanchard toutes deux journalistes reporter d’images ainsi que Wolfgang Wartelle en qualité de chef de projet multimédia.

L’équipe dirigeante d’HospiTV interviewée par le journaliste Georges Mattera. De gauche à droite Mr Charles Cardine, directeur général, Mme Florence Roque, rédactrice en chef et François-Arnaud Casalis, directeur des rédactions.RCHU : Créer une chaîne coûte cher même sur le web. Quel business plan avez-vous adopté et quel développement envisagez-vous ? Y aura-t-il de la publicité ? Dans quelle proportion ?CC : Nous bénéficions d’un partenariat avec une chaîne régionale et d’un financement propre de 400 000 €. Le revenu au titre de la publicité est assuré par des bannières publicitaires.RCHU : Et si les communicants souhaitent adresser une information à HospiTV qui doivent-ils contacter ? FAC : Pour l’heure, ils doivent s’adresser à la Rédaction d’Hospi TV et du Magazine Hospitalier, l’adresse reste la même : href= »mailto:redaction@magazine-hospitalier.com », Tél : 01 41 79 78 50. * festival de la télévision hospitalière organisé chaque année à Marseille

Sur le même sujet

Pour préserver sa fertilité, on lui déplace l’utérus au niveau du nombril

Dans le cadre de la prise en charge d’une patiente atteinte d’un sarcome d’Ewing au niveau de la cloison recto-vaginale, le Pr Cherif Akladios, chef du pôle de gynécologie, obstétrique et fertilité aux Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, a réalisé un geste spectaculaire et inédit en France. En déplaçant son utérus au niveau de son ombilic, le chirurgien et son équipe ont sans doute permis à la jeune femme de préserver sa fertilité.

« Développer la chirurgie robotique, c’est faire face à beaucoup d’embûches »

A l’occasion d’une série de reportages au CHU de Nice, nous avons suivi le Pr Matthieu Durand, chef du service d’urologie, andrologie et transplantation rénale. Ce dernier a accepté de partager sa vision sur le développement de la chirurgie robotique au bloc opératoire. Dans son service, une attention particulière est donnée à l’enseignement avec 100% d’internes formés à la robotique. Un entretien au carrefour de la formation et de l’innovation.

Dossier : le diabète

Le 14 novembre était la journée mondiale du diabète. Une maladie répandue mais complexe. Environ 537 millions d’adultes vivent avec le diabète dans le monde. En France en 2020, plus de 4,2 millions de personnes vivent avec un diabète, soit 6,1 % de la population. Le diabète est plus fréquent chez les hommes que chez les femmes, à l’exception des territoires ultra-marins où les femmes sont les plus touchées.

Face à l’explosion des demandes de PMA, les CECOS dans l’inquiétude

Depuis la promulgation de la loi de bioéthique il y trois ans, les demandes d’aide à la procréation médicalisée ont explosé. En face de cette dynamique, le nombre de donneurs de spermatozoïdes, lui, est en baisse. Un constat aussi valable pour le don d’ovocytes et qui inquiète les professionnels des Centres d’études et de conservation des œufs et du sperme humain. Ces derniers n’ont que quelques mois pour reconstituer leurs banques de gamètes, désormais régies par la levée de l’anonymat des donneurs. Reportage au CHRU de Tours.