Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Journées européennes du partimoine, l’hôpital inscrit dans l’histoire

Auteur /Etablissement :
Les Journées européennes du patrimoine ont lieu les 17 et 18 septembre prochains. Le thème retenu pour cette 22ème édition, « J'aime mon patrimoine », invite les visiteurs à manifester leur attachement au patrimoine national. Comme chaque année, l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris, dont le patrimoine hospitalier est souvent méconnu, participe à ces journées.

Les Journées européennes du patrimoine ont lieu les 17 et 18 septembre prochains. Le thème retenu pour cette 22ème édition, « J’aime mon patrimoine », invite les visiteurs à manifester leur attachement au patrimoine national. Comme chaque année, l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris, dont le patrimoine hospitalier est souvent méconnu, participe à ces journées.

Les hôpitaux Lariboisière (10°), Saint-Louis (10°), La Pitié-Salpêtrière (13°), Cochin-Saint-Vincent-de-Paul (14°), Corentin-Celton (92), proposent au public de découvrir la richesse de leur patrimoine historique et architectural sous la forme de visites guidées ou libres, et de concerts.

Le Musée des moulages dermatologiques de l’hôpital Saint-Louis dont l’ouverture est exceptionnelle, propose un programme inédit de visites des restaurations récentes des collections de moulages en cire représentant les maladies de la peau.

Le plus vaste des hôpitaux parisiens, La Pitié-Salpétrière, ouvrira exceptionnellement la Bibliothèque de Jean-Martin Charcot, grand maître de la pathologie nerveuse à la fin du XIX° siècle. Elle comprend notamment la totalité de son oeuvre manuscrite scientifique.

L’hôpital Lariboisière, renommé pour l’élégance de ses pavillons, est le premier hôpital de ce type construit en France. L’hôpital Corentin-Celton, aujourd’hui entièrement réaménagé, propose quant à lui différents concerts.

A cette occasion, le musée de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris, qui constitue le musée hospitalier le plus ancien de France, offrira des visites guidées gratuites autour d’un parcours littéraire dans les collections du Musée : « Poètes et médecins au Musée de l’AP-HP » ; d’une rencontre avec une restauratrice « Le patrimoine défie le temps » ; et le parcours des restaurations «Les oeuvres font peau neuve ».

Sur le même sujet

Pour préserver sa fertilité, on lui déplace l’utérus au niveau du nombril

Dans le cadre de la prise en charge d’une patiente atteinte d’un sarcome d’Ewing au niveau de la cloison recto-vaginale, le Pr Cherif Akladios, chef du pôle de gynécologie, obstétrique et fertilité aux Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, a réalisé un geste spectaculaire et inédit en France. En déplaçant son utérus au niveau de son ombilic, le chirurgien et son équipe ont sans doute permis à la jeune femme de préserver sa fertilité.

« Développer la chirurgie robotique, c’est faire face à beaucoup d’embûches »

A l’occasion d’une série de reportages au CHU de Nice, nous avons suivi le Pr Matthieu Durand, chef du service d’urologie, andrologie et transplantation rénale. Ce dernier a accepté de partager sa vision sur le développement de la chirurgie robotique au bloc opératoire. Dans son service, une attention particulière est donnée à l’enseignement avec 100% d’internes formés à la robotique. Un entretien au carrefour de la formation et de l’innovation.

Dossier : le diabète

Le 14 novembre était la journée mondiale du diabète. Une maladie répandue mais complexe. Environ 537 millions d’adultes vivent avec le diabète dans le monde. En France en 2020, plus de 4,2 millions de personnes vivent avec un diabète, soit 6,1 % de la population. Le diabète est plus fréquent chez les hommes que chez les femmes, à l’exception des territoires ultra-marins où les femmes sont les plus touchées.

Face à l’explosion des demandes de PMA, les CECOS dans l’inquiétude

Depuis la promulgation de la loi de bioéthique il y trois ans, les demandes d’aide à la procréation médicalisée ont explosé. En face de cette dynamique, le nombre de donneurs de spermatozoïdes, lui, est en baisse. Un constat aussi valable pour le don d’ovocytes et qui inquiète les professionnels des Centres d’études et de conservation des œufs et du sperme humain. Ces derniers n’ont que quelques mois pour reconstituer leurs banques de gamètes, désormais régies par la levée de l’anonymat des donneurs. Reportage au CHRU de Tours.