Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Le Groupe Hospitalier Est Réunion (GHER) certifié par la Haute Autorité de Santé

Auteur /Etablissement :
Lors de leur visite initiale en janvier 2013, les experts avaient ciblé 4 réserves et 13 recommandations* sur les 85 critères analysés. Les observations portaient principalement sur le programme d’amélioration de la qualité et de sécurité et sur la gestion du médicament. Aujourd'hui, les réserves ont toutes été levées ainsi que la majorité des recommandations. Le rapport de la Haute Autorité de Santé souligne d'ailleurs le niveau de qualité et de sécurité des soins dispensés par l’établissement.

Lors de leur visite initiale en janvier 2013,  les experts avaient ciblé 4 réserves et 13 recommandations* sur les 85 critères analysés. Les  observations portaient principalement sur le programme d’amélioration de la qualité et de sécurité et sur la gestion du médicament. Aujourd’hui, les réserves ont toutes été levées ainsi que la majorité des recommandations. Le rapport de la Haute Autorité de Santé souligne d’ailleurs le niveau de qualité et de sécurité des soins dispensés par l’établissement. Ces bons résultats traduisent la volonté de tous les professionnels médicaux, paramédicaux, administratifs et techniques de conformer leurs pratiques aux standards nationaux.
 
Pour atteindre une certification sans réserve, 1 770 heures cumulées de réunions de travail ont été nécessaires. Un engagement collectif d’ampleur qui place le GHER dans le haut du tableau des établissements visités, parmi les 35% des bons élèves de la V2010.
 
"Le GHER peut se féliciter de ce bon résultat et continuer à œuvrer au quotidien à l’amélioration des pratiques pour le bien être des usagers, notamment par la levée des quelques recommandations restantes. Forte de cette dynamique d’amélioration et de cette culture participative, la communauté hospitalière se prépare déjà à la prochaine certification qui aura lieu en 2017 " se réjouit David Gruson, directeur du GHER.
 
Les résultats en ligne sur le site de la HAS http://www.has-sante.fr
 
En savoir plus sur la certification

La certification des hôpitaux est devenue obligatoire depuis les ordonnances Juppé de 1996. Cette démarche vise à évaluer le bon fonctionnement des hôpitaux. Dès lors les usagers connaissent la qualité du service rendu. Tous les quatre ans, la Haute Autorité de Santé visite et audite les hôpitaux suivant une grille d’évaluation précise et rigoureuse de 85 critères.
 
Plus de 2500 établissements de santé se sont engagés dans la procédure de certification V2010, et la HAS a rendu son rapport pour chacun d’eux à l’issue des visites de certification. Ainsi, au 1er mars 2014 les résultats de certification V2010 étaient les suivants :
• 17,5% des établissements visités obtenaient des certifications sans recommandation
• 35% des certifications avec recommandations
• 36% des certifications avec réserves
• 11% des sursis à la certification dont 0,5% sont non certifiés
 
Points clés analysés lors de la visite de certification
• Les pratiques identifiées comme exigibles prioritaires (PEP) ayant un niveau d’exigence plus élevé
• Les programmes d’évaluation des pratiques professionnels (EPP) définis dans le manuel
• Le suivi des indicateurs nationaux
• Un programme qualité-gestion des risques structuré, hiérarchisé, validé, partagé et actualisé

*Comme le GHER dispose de secteurs Médecine-chirurgie-obstétrique (MCO), Soins de suite et réadaptation SSR et Soins de long durée (SLD), le même critère est parfois répété 3 fois car le constat est le même sur les différents types d’hospitalisation

Sur le même sujet

Pour préserver sa fertilité, on lui déplace l’utérus au niveau du nombril

Dans le cadre de la prise en charge d’une patiente atteinte d’un sarcome d’Ewing au niveau de la cloison recto-vaginale, le Pr Cherif Akladios, chef du pôle de gynécologie, obstétrique et fertilité aux Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, a réalisé un geste spectaculaire et inédit en France. En déplaçant son utérus au niveau de son ombilic, le chirurgien et son équipe ont sans doute permis à la jeune femme de préserver sa fertilité.

« Développer la chirurgie robotique, c’est faire face à beaucoup d’embûches »

A l’occasion d’une série de reportages au CHU de Nice, nous avons suivi le Pr Matthieu Durand, chef du service d’urologie, andrologie et transplantation rénale. Ce dernier a accepté de partager sa vision sur le développement de la chirurgie robotique au bloc opératoire. Dans son service, une attention particulière est donnée à l’enseignement avec 100% d’internes formés à la robotique. Un entretien au carrefour de la formation et de l’innovation.

Dossier : le diabète

Le 14 novembre était la journée mondiale du diabète. Une maladie répandue mais complexe. Environ 537 millions d’adultes vivent avec le diabète dans le monde. En France en 2020, plus de 4,2 millions de personnes vivent avec un diabète, soit 6,1 % de la population. Le diabète est plus fréquent chez les hommes que chez les femmes, à l’exception des territoires ultra-marins où les femmes sont les plus touchées.

Face à l’explosion des demandes de PMA, les CECOS dans l’inquiétude

Depuis la promulgation de la loi de bioéthique il y trois ans, les demandes d’aide à la procréation médicalisée ont explosé. En face de cette dynamique, le nombre de donneurs de spermatozoïdes, lui, est en baisse. Un constat aussi valable pour le don d’ovocytes et qui inquiète les professionnels des Centres d’études et de conservation des œufs et du sperme humain. Ces derniers n’ont que quelques mois pour reconstituer leurs banques de gamètes, désormais régies par la levée de l’anonymat des donneurs. Reportage au CHRU de Tours.