La signature de la 4e convention triennale de développement culturel, réaffirme l’hôpital comme lieu de vie au cœur de la cité. En s’inscrivant dans la durée, cette convention permet de se projeter et de nourrir des perspectives pour chaque coopération.
L’ouverture de l’hôpital à la culture, composante essentielle de la prise en charge globale des personnes hospitalisées, s’inscrit dans le cadre du programme régional "Culture‐Santé" de Normandie et est intégré au projet d’établissement du CHU de Rouen. L’Hôpital et la Ville y affirment l’accès à la culture pour tous, y compris en situation de vulnérabilité, autour de différents axes: lecture, spectacles vivants, musique avec le Conservatoire à rayonnement régional, exposition, patrimoine.
Une diversité d’échanges et d’interventions
Cette convention favorise la diversité des échanges autour de plusieurs modalités d’interventions: spectacles dans le cadre du Curieux Printemps mais aussi en partenariat avec l’Etincelle, interventions de musiciens dans les services, grâce notamment au fort engagement du conservatoire, ateliers d’écriture avec la bibliothèque Simone de Beauvoir, création avec l’accueil d’artistes en résidence.
Vivre l’hôpital autrement
Les projets principalement destinés aux patients et à leurs proches offrent également des opportunités inédites pour les professionnels de vivre l’hôpital autrement. De nombreux services bénéficient aujourd’hui de cette offre culturelle (cancérologie, soins palliatifs, médecine de l’adolescent) mais également à la population invitée à traverser l’hôpital sous un autre angle.
Le CHU et la Ville réitèrent ainsi leurs engagements réciproques pour créer des opportunités inédites de rencontres avec l’art et les artistes. Ce partenariat créatif offre aux patients et aux professionnels des expériences inédites d’évasion, d’apaisement et de partage propices à l’épanouissement.
Concours de l’internat : la Conférence des doyens de médecine défend une réforme “favorable”
Dans un contexte de polémique suscitée par les nouvelles modalités de choix de spécialités pour les internes en médecine, qui dénoncent une forme d’injustice, la Conférence des doyens de médecine a pris la plume. Dans un communiqué publié le 28 août, celle-ci tente de rassurer en affirmant que “l’équité est bien respectée” et que la baisse actuelle du nombre d’internes n’empêchera pas le fonctionnement global de l’hôpital “d’être bien assuré”.