23ème sur 800 Le CHU de Dijon se félicite de ce très bon résultat qui fait apparaître de belles progressions notamment en ophtalmologie, en cardiologie ou encore en neurologie. « Un encouragement pour l’ensemble des professionnels de l’établissement ! » reconnaît la direction générale.
Pour cette nouvelle édition, 63 spécialités médicales et chirurgicales ont été analysées (dont 5 nouvelles)… et le CHU de Dijon se positionne 8 fois parmi les 6 premiers établissements, et 29 fois parmi les 50 premiers :
– 2ème pour le glaucome (+ 4 places)
– 3ème pour l’infarctus du myocarde (+ 6 places)
– 4ème pour la thyroïde (=)
– 5ème pour la chirurgie des carotides (- 3 places)
– 5ème pour la cataracte (- 2 places)
– 6ème pour la rétine (=)
– 6e pour la chirurgie des artères (- 5 places)
– 6ème pour la leucémie
Mais aussi…
– 12ème pour la chirurgie cardiaque
– 13ème pour les cancers de la peau
– 14ème pour l’estomac et oesophage
– 14ème pour le cancer du poumon
– 14ème pour les hépatites virales
– 15ème pour les Accidents Vasculaires Cérébraux
– 19ème pour la chirurgie de la colonne vertébrale
– 19ème pour la Sclérose en Plaques
– 22ème pour la chirurgie du Côlon et de l’intestin
– 23ème pour la chirurgie de la cheville
– 25ème pour les maladies infectieuses et du voyageur
– 26ème pour les urgences traumatologiques
– 27ème pour la pneumologie
– 27ème pour l’épilepsie
– 30ème pour la neurochirurgie
– 35ème pour la prothèse de hanche
– 38ème pour l’endocrinologie
– 40ème pour l’hypertension artérielle
– 41ème pour le cancer de la prostate
– 43ème pour la pédiatrie
– 46ème pour la vésicule biliaire
Concours de l’internat : la Conférence des doyens de médecine défend une réforme “favorable”
Dans un contexte de polémique suscitée par les nouvelles modalités de choix de spécialités pour les internes en médecine, qui dénoncent une forme d’injustice, la Conférence des doyens de médecine a pris la plume. Dans un communiqué publié le 28 août, celle-ci tente de rassurer en affirmant que “l’équité est bien respectée” et que la baisse actuelle du nombre d’internes n’empêchera pas le fonctionnement global de l’hôpital “d’être bien assuré”.