Bonne nouvelle pour tous les internautes : au CHU de Limoges ils disposent désormais d’une connexion haut débit sur les cinq sites de l’établissement. Les personnes hospitalisées pourront surfer en wifi (sans fil) à partir de leur PC portable ou d’un smartphone – compter 12 euros la semaine. Le CHU propose aussi un service de location de PC portable.
Proposée en partenariat avec la société Télécom Services, cette offre répond à un besoin croissant des patients désireux de se distraire, de s’informer, ou de garder le contact avec leur activité professionnelle ou leurs proches pendant leur séjour, ce qui est particulièrement appréciable en cas d’éloignement géographique.
Pour bénéficier de ce nouveau service, il suffit au patient d’appeler depuis sa chambre la société Télécom Service. Une hôtesse active alors à distance la connexion. Moyennant le versement d’une caution, un PC portable peut aussi être livré en chambre. Le patient indique à quel forfait il souhaite souscrire pour l’accès au réseau et/ou le prêt du terminal (jour, semaine, 10 jours, mois…). Une avance de 24H est réalisée par la société Télécom Service, avant règlement du forfait de location. Une régularisation est effectuée en fin de séjour en cas de trop perçu. Par exemple, une connexion d’une semaine au réseau haut-débit en wifi sur son propre terminal est facturée 12 €.
Inscrit dans le schéma directeur du système d’information, ce service sera bientôt suivi de la place d’un nouveau dispositif permettant cette fois aux visiteurs et consultants, de surfer au sein de l’hôpital (salles d’attente…) en wifi depuis leurs mobiles.
Concours de l’internat : la Conférence des doyens de médecine défend une réforme “favorable”
Dans un contexte de polémique suscitée par les nouvelles modalités de choix de spécialités pour les internes en médecine, qui dénoncent une forme d’injustice, la Conférence des doyens de médecine a pris la plume. Dans un communiqué publié le 28 août, celle-ci tente de rassurer en affirmant que “l’équité est bien respectée” et que la baisse actuelle du nombre d’internes n’empêchera pas le fonctionnement global de l’hôpital “d’être bien assuré”.