Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Personnes en situation de handicap : nouvelle clinique du positionnement et de la mobilité

Auteur /Etablissement :
Ouverte le 1er septembre 2014 dans les locaux du service de médecine et de réadaptation du CHU de Toulouse à l’hôpital Rangueil, la Clinique du positionnement et de la mobilité (CPM) accueille les patients en fauteuil roulant souffrant de troubles posturaux.

Ouverte le 1er septembre 2014 dans les locaux du service de médecine et de réadaptation du CHU de Toulouse à l’hôpital Rangueil, la Clinique du positionnement et de la mobilité (CPM) accueille les patients en fauteuil roulant souffrant de troubles posturaux.
L’expertise de la nouvelle clinique : proposer au patient une solution posturale adaptée à sa morphologie pour une meilleure qualité de vie
En France, il existe 450 modèles de fauteuils roulants dans des catégories distinctes, pour enfant, manuel, électrique, pour le sport…
En fonction de la pathologie, du mode de vie de la personne handicapée et de critères ergonomiques, les professionnels de santé préconisent le fauteuil le plus adapté au patient, celui qui limitera l’inconfort des douleurs liées à l’assise prolongée et favorisera au mieux son autonomie dans les activités de la vie courante, les déplacements, la communication, la prise d’objets dans l’espace proche.
 
Fauteuil de simulation du CHU de Toulouse
Une activité nouvelle dont le CHU de Toulouse a été le précurseur
Cette activité, relativement récente en France, a été testée pendant plusieurs années dans le service de médecine physique et de réadaptation de l’hôpital Rangueil. Les résultats de l’évaluation ont montré la pertinence du dispositif qui a incité les associations de patients, par l’intermédiaire du Comité d’Entente Régional des associations représentatives des personnes en situation de handicap et de leurs familles, à défendre le projet.
L’Agence Régionale de Santé de Midi-Pyrénées a accompagné cette activité par un financement dédié. Le dynamisme des professionnels de santé du CHU a contribué à faire de cette clinique du positionnement et de la mobilité, la structure la plus importante de France. Son équipe compte trois ergothérapeutes, une kinésithérapeute, un médecin, une infirmière et une secrétaire médicale.
Ainsi, après une consultation préalable avec le médecin de la clinique du positionnement et de la mobilité, tout patient de Midi-Pyrénées présentant des difficultés sur son fauteuil roulant (douleur, inconfort, escarre, difficultés de déplacement, perte d’autonomie…) peut être accueilli  en hôpital de jour et bénéficier d’une prise en charge pluridisciplinaire, du lundi au jeudi.

Sur le même sujet

Pour préserver sa fertilité, on lui déplace l’utérus au niveau du nombril

Dans le cadre de la prise en charge d’une patiente atteinte d’un sarcome d’Ewing au niveau de la cloison recto-vaginale, le Pr Cherif Akladios, chef du pôle de gynécologie, obstétrique et fertilité aux Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, a réalisé un geste spectaculaire et inédit en France. En déplaçant son utérus au niveau de son ombilic, le chirurgien et son équipe ont sans doute permis à la jeune femme de préserver sa fertilité.

« Développer la chirurgie robotique, c’est faire face à beaucoup d’embûches »

A l’occasion d’une série de reportages au CHU de Nice, nous avons suivi le Pr Matthieu Durand, chef du service d’urologie, andrologie et transplantation rénale. Ce dernier a accepté de partager sa vision sur le développement de la chirurgie robotique au bloc opératoire. Dans son service, une attention particulière est donnée à l’enseignement avec 100% d’internes formés à la robotique. Un entretien au carrefour de la formation et de l’innovation.

Dossier : le diabète

Le 14 novembre était la journée mondiale du diabète. Une maladie répandue mais complexe. Environ 537 millions d’adultes vivent avec le diabète dans le monde. En France en 2020, plus de 4,2 millions de personnes vivent avec un diabète, soit 6,1 % de la population. Le diabète est plus fréquent chez les hommes que chez les femmes, à l’exception des territoires ultra-marins où les femmes sont les plus touchées.

Face à l’explosion des demandes de PMA, les CECOS dans l’inquiétude

Depuis la promulgation de la loi de bioéthique il y trois ans, les demandes d’aide à la procréation médicalisée ont explosé. En face de cette dynamique, le nombre de donneurs de spermatozoïdes, lui, est en baisse. Un constat aussi valable pour le don d’ovocytes et qui inquiète les professionnels des Centres d’études et de conservation des œufs et du sperme humain. Ces derniers n’ont que quelques mois pour reconstituer leurs banques de gamètes, désormais régies par la levée de l’anonymat des donneurs. Reportage au CHRU de Tours.