Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Un nouveau site internet

Auteur /Etablissement :
Depuis le 31 mars 2015, une nouvelle version du site internet du CHU de Grenoble répond aux clics des internautes. L’ancien site internet construit par les équipes du CRIH et animé par le service communication a retiré son écran après 10 années de service. Place au nouvel espace digital où l’accent est résolument mis sur l’usager...

Depuis le 31 mars 2015, une nouvelle version du site internet du CHU de Grenoble répond aux clics des internautes. L’ancien site internet construit par les équipes du CRIH et animé par le service communication a retiré son écran après 10 années de service. Place au nouvel espace digital où l’accent est résolument mis sur l’usager : simplification de la recherche d’informations, design moderne et épuré, ce site est accessible à tous (handicapés, seniors et personnes ne disposant pas du confort offert par un ordinateur de bureau) et s’adapte à tous les supports (ordinateurs, tablettes et smartphones).
L’offre de soins a été « segmentée » en 10 grandes catégories : Urgences ; Anesthésie/Réanimation ; Médecine ; Chirurgie ; Couple/Enfant ; Imagerie, laboratoire, pharmacie ; Cancérologie ; Rééducation ; Hébergement personnes âgées ; Services transversaux. La navigation et le repérage de l’usager s’en trouvent simplifiés.
En un clic, l’internaute accède à la description des services, à leur téléphone et à leur localisation précise dans l’hôpital. Une nouvelle configuration inspirée par une volonté de fluidifier le parcours du patient et d’améliorer son accueil. Aujourd’hui, la relation de soin débute par un contact numérique entre le patient et l’institution. Celle-ci doit lui fournir toutes les informations afin de préparer au mieux son arrivée au sein des services.
De nombreux autres points ont été améliorés : facilité pour candidater à une offre d’emploi ou pour déposer une candidature spontanée, mise en avant du Kiosque Patient, possibilité de payer sa facture en ligne, etc.
Le CHU de Grenoble vous invite à découvrir son nouveau site, bonne navigation !

Sur le même sujet

Pour préserver sa fertilité, on lui déplace l’utérus au niveau du nombril

Dans le cadre de la prise en charge d’une patiente atteinte d’un sarcome d’Ewing au niveau de la cloison recto-vaginale, le Pr Cherif Akladios, chef du pôle de gynécologie, obstétrique et fertilité aux Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, a réalisé un geste spectaculaire et inédit en France. En déplaçant son utérus au niveau de son ombilic, le chirurgien et son équipe ont sans doute permis à la jeune femme de préserver sa fertilité.

« Développer la chirurgie robotique, c’est faire face à beaucoup d’embûches »

A l’occasion d’une série de reportages au CHU de Nice, nous avons suivi le Pr Matthieu Durand, chef du service d’urologie, andrologie et transplantation rénale. Ce dernier a accepté de partager sa vision sur le développement de la chirurgie robotique au bloc opératoire. Dans son service, une attention particulière est donnée à l’enseignement avec 100% d’internes formés à la robotique. Un entretien au carrefour de la formation et de l’innovation.

Dossier : le diabète

Le 14 novembre était la journée mondiale du diabète. Une maladie répandue mais complexe. Environ 537 millions d’adultes vivent avec le diabète dans le monde. En France en 2020, plus de 4,2 millions de personnes vivent avec un diabète, soit 6,1 % de la population. Le diabète est plus fréquent chez les hommes que chez les femmes, à l’exception des territoires ultra-marins où les femmes sont les plus touchées.

Face à l’explosion des demandes de PMA, les CECOS dans l’inquiétude

Depuis la promulgation de la loi de bioéthique il y trois ans, les demandes d’aide à la procréation médicalisée ont explosé. En face de cette dynamique, le nombre de donneurs de spermatozoïdes, lui, est en baisse. Un constat aussi valable pour le don d’ovocytes et qui inquiète les professionnels des Centres d’études et de conservation des œufs et du sperme humain. Ces derniers n’ont que quelques mois pour reconstituer leurs banques de gamètes, désormais régies par la levée de l’anonymat des donneurs. Reportage au CHRU de Tours.