– le recours à des protocoles « à la carte », traitement initial spécifiquement défini en fonction de la patiente, correction du programme en cours de stimulation ;
– des protocoles courts exigeant une présence 7jours sur 7 du personnel hospitalier pour des examens et ajustements quotidiens, (les protocoles courts sont réservés aux patientes qui ont une réserve ovarienne faible)
– dans certains cas, l’administration de fortes doses de gonadostimulines (substances hormonales qui stimulent l’activité ovarienne);
– une exemplaire collaboration avec le laboratoire de biologie de la reproduction du CHU ;
– une évaluation permanente de l’efficacité des pratiques conduite avec l’appui du département d’information médicale du CHU.
Alors qu’en France, la probabilité de grossesse clinique après FIV et ICSI intraconjugales est de l’ordre de 25 %, le centre de procréation médicalement assistée du CHU affiche des résultats supérieurs à 40 % de grossesse par tentative.