Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Saint-Etienne -> Roanne : la route du cœur

Pour assurer une offre de soins en cardiologie sur le territoire du Sud de la Loire, le CHU de Saint-Etienne mobilise ses équipes et déploie de nouvelles capacités. Il apporte son renfort au CH de Roanne en mandatant des internes de spécialité, 2 jours par semaine et durant une astreinte de nuit après la présence de jour. Le CHU va également ouvrir 5 lits supplémentaires d’hospitalisation de semaine de cardiologie qui seront opérationnels début mai.

Pour assurer une offre de soins en cardiologie sur le territoire du Sud de la Loire, le CHU de Saint-Etienne mobilise ses équipes et déploie de nouvelles capacités. Il apporte son renfort au CH de Roanne en mandatant des internes de spécialité, 2 jours par semaine et durant une astreinte de nuit après la présence de jour. Le CHU va également ouvrir 5 lits supplémentaires d’hospitalisation de semaine de cardiologie qui seront opérationnels début mai. 
Cette organisation vise à pallier les difficultés de recrutement de cardiologues rencontrées par le CH de Roanne et par le CH du Forez qui se voit obliger de fermer fin avril l’Unité de Soins Intensifs en Cardiologie (USIC) du site de Feurs.
En apportant cet appui, le CHU intervient au maximum de ses possibilités ; il doit lui-même assurer la continuité et la sécurité de ses propres activités.
Grâce à ce soutien, les personnes suivies par l’USIC de Feurs sont assurées d’un suivi. L’orientation des patients sera faite par l’équipe médicale en fonction de leur état de santé et de son lieu de domicile. Le parcours patient ainsi organisé permet d’assurer une sécurité et une continuité de l’offre de soins.
Le service de cardiologie du CHU de Saint‐Etienne dispose de capacités complètes de prise en charge :
‐ 12 lits au sein de l’Unité de Soins Intensifs de Cardiologie
‐ 56 lits d’hospitalisation complète répartis en 2 unités
‐ A compter de début mai, 5 lits supplémentaires d’hôpital de semaine spécialisé.
Ce service de pointe est régulièrement cité dans les palmarès d’excellence des hôpitaux.

Sur le même sujet

Pour préserver sa fertilité, on lui déplace l’utérus au niveau du nombril

Dans le cadre de la prise en charge d’une patiente atteinte d’un sarcome d’Ewing au niveau de la cloison recto-vaginale, le Pr Cherif Akladios, chef du pôle de gynécologie, obstétrique et fertilité aux Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, a réalisé un geste spectaculaire et inédit en France. En déplaçant son utérus au niveau de son ombilic, le chirurgien et son équipe ont sans doute permis à la jeune femme de préserver sa fertilité.

« Développer la chirurgie robotique, c’est faire face à beaucoup d’embûches »

A l’occasion d’une série de reportages au CHU de Nice, nous avons suivi le Pr Matthieu Durand, chef du service d’urologie, andrologie et transplantation rénale. Ce dernier a accepté de partager sa vision sur le développement de la chirurgie robotique au bloc opératoire. Dans son service, une attention particulière est donnée à l’enseignement avec 100% d’internes formés à la robotique. Un entretien au carrefour de la formation et de l’innovation.

Dossier : le diabète

Le 14 novembre était la journée mondiale du diabète. Une maladie répandue mais complexe. Environ 537 millions d’adultes vivent avec le diabète dans le monde. En France en 2020, plus de 4,2 millions de personnes vivent avec un diabète, soit 6,1 % de la population. Le diabète est plus fréquent chez les hommes que chez les femmes, à l’exception des territoires ultra-marins où les femmes sont les plus touchées.

Face à l’explosion des demandes de PMA, les CECOS dans l’inquiétude

Depuis la promulgation de la loi de bioéthique il y trois ans, les demandes d’aide à la procréation médicalisée ont explosé. En face de cette dynamique, le nombre de donneurs de spermatozoïdes, lui, est en baisse. Un constat aussi valable pour le don d’ovocytes et qui inquiète les professionnels des Centres d’études et de conservation des œufs et du sperme humain. Ces derniers n’ont que quelques mois pour reconstituer leurs banques de gamètes, désormais régies par la levée de l’anonymat des donneurs. Reportage au CHRU de Tours.