Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Grippe mexicaine, le CHU prend toutes les mesures nécessaires

Auteur /Etablissement :
Le CHU de Nîmes a réactivé préventivement le dispositif « Pandémie grippale » de son « Plan Blanc » pour faire face aux éventuels cas de grippe mexicaine.

Le CHU de Nîmes a réactivé préventivement le dispositif « Pandémie grippale » de son « Plan Blanc » pour faire face aux éventuels cas de grippe mexicaine.

A cet effet, la PROCEDURE en cas de suspicion d’une infection par le virus de la grippe mexicaine a été mise en vigueur :

1. Tout patient se présentant au service d’accueil des urgences pour lequel l’infirmière d’accueil suspecte un risque d’infection par la grippe mexicaine est doté d’un masque chirurgical et placé en chambre d’isolement.
Le personnel en contact avec le patient se protège par le port d’un masque filtrant et d’une tenue de protection : charlotte, gants, surblouse à usage unique.

2. L’infirmière d’accueil informe immédiatement le médecin régulateur des urgences qui détermine s’il s’agit d’un cas possible ou d’un cas exclu.

3. S’il s’agit d’un cas possible de grippe mexicaine, le médecin effectue un prélèvement naso-pharyngé grâce au kit de prélèvement prévu à cet effet. Le patient est hospitalisé dans une chambre d’isolement du Service des Maladies Infectieuses et Tropicales (SMIT) du CHU.

4. Le prélèvement est adressé par transporteur au laboratoire de virologie agréé chargé de l’analyser.

Parallèlement, une CELLULE DE CRISE a été mise en place. Elle rassemble les médecins urgentistes, les médecins du SMIT et la Direction Générale du CHU et est organisée pour faire face à toute évolution de la situation.

Sur le même sujet

Pour préserver sa fertilité, on lui déplace l’utérus au niveau du nombril

Dans le cadre de la prise en charge d’une patiente atteinte d’un sarcome d’Ewing au niveau de la cloison recto-vaginale, le Pr Cherif Akladios, chef du pôle de gynécologie, obstétrique et fertilité aux Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, a réalisé un geste spectaculaire et inédit en France. En déplaçant son utérus au niveau de son ombilic, le chirurgien et son équipe ont sans doute permis à la jeune femme de préserver sa fertilité.

« Développer la chirurgie robotique, c’est faire face à beaucoup d’embûches »

A l’occasion d’une série de reportages au CHU de Nice, nous avons suivi le Pr Matthieu Durand, chef du service d’urologie, andrologie et transplantation rénale. Ce dernier a accepté de partager sa vision sur le développement de la chirurgie robotique au bloc opératoire. Dans son service, une attention particulière est donnée à l’enseignement avec 100% d’internes formés à la robotique. Un entretien au carrefour de la formation et de l’innovation.

Dossier : le diabète

Le 14 novembre était la journée mondiale du diabète. Une maladie répandue mais complexe. Environ 537 millions d’adultes vivent avec le diabète dans le monde. En France en 2020, plus de 4,2 millions de personnes vivent avec un diabète, soit 6,1 % de la population. Le diabète est plus fréquent chez les hommes que chez les femmes, à l’exception des territoires ultra-marins où les femmes sont les plus touchées.

Face à l’explosion des demandes de PMA, les CECOS dans l’inquiétude

Depuis la promulgation de la loi de bioéthique il y trois ans, les demandes d’aide à la procréation médicalisée ont explosé. En face de cette dynamique, le nombre de donneurs de spermatozoïdes, lui, est en baisse. Un constat aussi valable pour le don d’ovocytes et qui inquiète les professionnels des Centres d’études et de conservation des œufs et du sperme humain. Ces derniers n’ont que quelques mois pour reconstituer leurs banques de gamètes, désormais régies par la levée de l’anonymat des donneurs. Reportage au CHRU de Tours.