Bonne nouvelle : la Haute Autorité de Santé (HAS) relève le niveau de certification de l’établissement. Le CHU de Nantes est ainsi certifié en B avec seulement deux recommandations d’amélioration, l’une portant sur la prise en charge médicamenteuse et l’autre sur les droits des patients.
« La communauté médicale du CHU de Nantes, avec l’ensemble des professionnels, se réjouit de ce résultat très positif. La certification est un moment fort et exigeant de la vie d’un établissement qui mobilise tout le personnel dans une démarche commune. C’est bien grâce à ce collectif que le résultat est au rendez-vous. Ce rapport contribue aussi à une progression de la qualité des prises en charge en ciblant des points d’amélioration sur lesquels nous nous mobilisons. » déclare le Pr Antoine Magnan, président de la commission médicale d’établissement.
« Ce rapport confirme notre positionnement très favorable parmi les établissements de taille équivalente et récompensent les efforts déployés par l’ensemble des professionnels en faveur de l’amélioration de la qualité et de la sécurisation des prises en charge. » se félicite Phlippe Sudreau, directeur général.
Pour préserver sa fertilité, on lui déplace l’utérus au niveau du nombril
Dans le cadre de la prise en charge d’une patiente atteinte d’un sarcome d’Ewing au niveau de la cloison recto-vaginale, le Pr Cherif Akladios, chef du pôle de gynécologie, obstétrique et fertilité aux Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, a réalisé un geste spectaculaire et inédit en France. En déplaçant son utérus au niveau de son ombilic, le chirurgien et son équipe ont sans doute permis à la jeune femme de préserver sa fertilité.