Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Nimes : résultats 2018 en excédent de 12,5 M€ et comptes certifiés sans réserve

Auteur /Etablissement :
Deux bonnes nouvelles sont arrivées pour le CHU de Nîmes. L'établissement a enregistré pour 2018 un excédent de compte principal de 12,5 millions d'euros (M€) sur un budget de 477,3 M€ (soit 2,8% des produits) et ses comptes annuels ont été certifiés sans réserve : « réguliers et sincères, ils donnent une image fidèle du résultat des opérations de l’exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de l’établissement à la fin de l’exercice » a estimé le commissaire aux comptes.

Deux bonnes nouvelles sont arrivées pour le CHU de Nîmes. L’établissement a enregistré pour 2018 un excédent de compte principal de 12,5 millions d’euros (M€) sur un budget de 477,3 M€ (soit 2,8% des produits) et ses comptes annuels ont été certifiés sans réserve  : « réguliers et sincères, ils donnent une image fidèle du résultat des opérations de l’exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de l’établissement à la fin de l’exercice » a estimé le commissaire aux comptes.

Une gestion rigoureuse et saine de la comptabilité

« La certification des comptes est toujours un moment important dans la vie d’un établissement public de santé, et je suis ravi que cette année, le CHU de Nîmes ait vu ses comptes certifiés sans réserve » se réjouit Nicolas Best, Directeur Général qui a tenu à saluer chaleureusement le travail mené par les différentes équipes « c’est par leur engagement au quotidien que nous parvenons à obtenir de tels résultats ».
Investir dans l’ancrage territorial
La direction générale a tenu à rappeler la bonne santé financière du CHU, avec depuis une dizaine d’années des exercices budgétaires à l’équilibre voire excédentaires. « Cette certification encourage l’établissement à investir encore davantage dans son développement et dans son ancrage territorial » a conclu Nicolas Best.

En savoir plus sur la certification comptable

La certification comptable d’un hôpital est un exercice instauré de manière annuelle dans les établissements publics de santé. Sa finalité est d’attester que l’information financière publiée par l’établissement est fiable, qu’elle rend bien compte de la situation financière et de ses résultats et qu’elle peut être utilisée avec sécurité et confiance par les tutelles, les banques et les responsables de l’établissement.
En 2015, les comptes avaient aussi été certifiés, mais une réserve sur les stocks.

Sur le même sujet

Pour préserver sa fertilité, on lui déplace l’utérus au niveau du nombril

Dans le cadre de la prise en charge d’une patiente atteinte d’un sarcome d’Ewing au niveau de la cloison recto-vaginale, le Pr Cherif Akladios, chef du pôle de gynécologie, obstétrique et fertilité aux Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, a réalisé un geste spectaculaire et inédit en France. En déplaçant son utérus au niveau de son ombilic, le chirurgien et son équipe ont sans doute permis à la jeune femme de préserver sa fertilité.

« Développer la chirurgie robotique, c’est faire face à beaucoup d’embûches »

A l’occasion d’une série de reportages au CHU de Nice, nous avons suivi le Pr Matthieu Durand, chef du service d’urologie, andrologie et transplantation rénale. Ce dernier a accepté de partager sa vision sur le développement de la chirurgie robotique au bloc opératoire. Dans son service, une attention particulière est donnée à l’enseignement avec 100% d’internes formés à la robotique. Un entretien au carrefour de la formation et de l’innovation.

Dossier : le diabète

Le 14 novembre était la journée mondiale du diabète. Une maladie répandue mais complexe. Environ 537 millions d’adultes vivent avec le diabète dans le monde. En France en 2020, plus de 4,2 millions de personnes vivent avec un diabète, soit 6,1 % de la population. Le diabète est plus fréquent chez les hommes que chez les femmes, à l’exception des territoires ultra-marins où les femmes sont les plus touchées.

Face à l’explosion des demandes de PMA, les CECOS dans l’inquiétude

Depuis la promulgation de la loi de bioéthique il y trois ans, les demandes d’aide à la procréation médicalisée ont explosé. En face de cette dynamique, le nombre de donneurs de spermatozoïdes, lui, est en baisse. Un constat aussi valable pour le don d’ovocytes et qui inquiète les professionnels des Centres d’études et de conservation des œufs et du sperme humain. Ces derniers n’ont que quelques mois pour reconstituer leurs banques de gamètes, désormais régies par la levée de l’anonymat des donneurs. Reportage au CHRU de Tours.