Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Recherche : pédagogie lilloise autour du label CLIP2

Auteur /Etablissement :
Pour conforter le lien entre les chercheurs en cancérologie et le public, le Conseil Régional Nord-Pas de Calais et le CHRU de Lille ont organisé une conférence sur la recherche à l’hôpital, le 3 juin 2015. Bien qu'ardu, le sujet intéresse. Portées par l'espoir de voir les travaux des scientifiques déboucher sur de nouveaux traitements contre le cancer, plus de 100 personnes ont participé à cette rencontre.

Pour conforter le lien entre les chercheurs en cancérologie et le public, le Conseil Régional Nord-Pas de Calais et le CHRU de Lille ont organisé une conférence sur la recherche à l’hôpital, le 3 juin 2015. Bien qu’ardu, le sujet intéresse.  Portées par l’espoir de voir les travaux des scientifiques déboucher sur de nouveaux traitements contre le cancer, plus de 100 personnes ont participé à cette rencontre. 
 
Les intervenants ont présenté CLIP2,
le Centre d’essais cliniques de phase précoce lillois labellisé par l’Inca, l’un des 16 centres français de haut niveau habilités à tester de nouvelles molécules. Déployé par le CHRU de Lille et le Centre Oscar Lambret. Ce réseau assure un recrutement très large de patients et garantit aux habitants du Nord-Pas-de-Calais un égal accès aux dernières avancées thérapeutiques sans avoir à se déplacer sur Paris. Ainsi, au Centre Oscar Lambret (Lille) 170 études cliniques concernant le traitement du cancer sont menées chaque année, incluant près de 1 000 patients et plus de 230 études cliniques sont conduites au CHRU de Lille, incluant 1 500 patients dans le respect des règles éthiques et des normes sécurité les plus élevées. Au total, plus de 400 recherches cliniques sont menées chaque année dans les établissements de la région lilloise.
 

La reconnaissance de l’excellence de la recherche lilloise et son dynamisme sont une chance pour les patients. C’est aussi un plus pour le rayonnement national et international des hôpitaux du Nord-Pas-de-Calais qui renforcent leur attractivité auprès des praticiens de talent.

Sur le même sujet

Pour préserver sa fertilité, on lui déplace l’utérus au niveau du nombril

Dans le cadre de la prise en charge d’une patiente atteinte d’un sarcome d’Ewing au niveau de la cloison recto-vaginale, le Pr Cherif Akladios, chef du pôle de gynécologie, obstétrique et fertilité aux Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, a réalisé un geste spectaculaire et inédit en France. En déplaçant son utérus au niveau de son ombilic, le chirurgien et son équipe ont sans doute permis à la jeune femme de préserver sa fertilité.

« Développer la chirurgie robotique, c’est faire face à beaucoup d’embûches »

A l’occasion d’une série de reportages au CHU de Nice, nous avons suivi le Pr Matthieu Durand, chef du service d’urologie, andrologie et transplantation rénale. Ce dernier a accepté de partager sa vision sur le développement de la chirurgie robotique au bloc opératoire. Dans son service, une attention particulière est donnée à l’enseignement avec 100% d’internes formés à la robotique. Un entretien au carrefour de la formation et de l’innovation.

Dossier : le diabète

Le 14 novembre était la journée mondiale du diabète. Une maladie répandue mais complexe. Environ 537 millions d’adultes vivent avec le diabète dans le monde. En France en 2020, plus de 4,2 millions de personnes vivent avec un diabète, soit 6,1 % de la population. Le diabète est plus fréquent chez les hommes que chez les femmes, à l’exception des territoires ultra-marins où les femmes sont les plus touchées.

Face à l’explosion des demandes de PMA, les CECOS dans l’inquiétude

Depuis la promulgation de la loi de bioéthique il y trois ans, les demandes d’aide à la procréation médicalisée ont explosé. En face de cette dynamique, le nombre de donneurs de spermatozoïdes, lui, est en baisse. Un constat aussi valable pour le don d’ovocytes et qui inquiète les professionnels des Centres d’études et de conservation des œufs et du sperme humain. Ces derniers n’ont que quelques mois pour reconstituer leurs banques de gamètes, désormais régies par la levée de l’anonymat des donneurs. Reportage au CHRU de Tours.