Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Sécurité renforcée au CHU de Nîmes : partenariat avec l’Etat et le ministère de la Justice

L’hôpital n’échappe pas aux maux de la société. Depuis le début de l’année, le Service Sécurité des Biens et des Personnes (SSBP) du CHU de Nîmes a effectué 518 interventions. Il a notamment procédé à 9 interpellations dans le cadre flagrant délit et saisi 32 armes de catégorie D, soit une hausse de 8 % par rapport à 2016. Sont principalement concernés les urgences et la psychiatrie, mais aucun service n’est épargné. Face à la montée des incivilités et des agressions, le CHU a souhaité renforcer la sécurité des agents hospitaliers, des usagers et des biens, faciliter les coopérations avec les forces de l’ordre, simplifier les dépôts de plainte et à permettre d’accélérer les décisions de justice. Autant de signaux forts contre le sentiment d’impunité qui a pu se répandre.
L’hôpital n’échappe pas aux maux de la société. Depuis le début de l’année, le Service Sécurité des Biens et des Personnes (SSBP) du CHU de Nîmes a effectué 518 interventions. Il a notamment procédé à 9 interpellations dans le cadre flagrant délit et saisi 32 armes de catégorie D, soit une hausse de 8 % par rapport à 2016. Sont principalement concernés les urgences et la psychiatrie, mais aucun service n’est épargné. Face à la montée des incivilités et des agressions, le CHU a  souhaité renforcer la sécurité des agents hospitaliers, des usagers et des biens, faciliter les coopérations avec les forces de l’ordre, simplifier les dépôts de plainte et à permettre d’accélérer les décisions de justice. Autant de signaux forts contre le  sentiment d’impunité qui a pu se répandre.
Le CHUN s’est aussi engagé dans une politique d’accompagnement et de soutien aux agents professionnels victimes d’agression et confrontés à des situations parfois traumatisantes. La concrétisation de ce partenariat constitue un signe très positif et rassurant pour les collaborateurs du CHUN. Il aidera l’hôpital à redevenir un espace où les soins sont prodigués dans la sérénité.

Mieux connaître le Service Sécurité des Biens et des Personnes (SSBP)

Le SSBP a pour mission de veiller à la sécurité des biens (lutte contre les vols et les dégradations) et des personnes (visiteurs indélicats, patients et/ou accompagnants perturbateurs…) sur les différents sites du CHUN. L’objectif des équipes du SSPB est de faire diminuer le nombre d’actes de malveillance constatés, d’accompagner les agents victimes d’agressions verbales ou physiques, de concilier sécurité, contraintes de fonctionnement et qualité de l’accueil.

Opérationnel 24 heures sur 24 et sept jours sur sept, le service compte 30 agents. En termes d’équipements, les agents membres du service peuvent s’appuyer sur 100 caméras de vidéoprotection déployées sur l’ensemble du site de Carémeau avec, a minima, un opérateur vidéo présent H24 7J/7j et deux opérateurs vidéo présents en journée la semaine. En complément, l’établissement dispose d’une soixantaine d’alarmes, des moyens d’alerte DATI (Dispositif d’alerte pour travailleurs isolés et autres), des véhicules de patrouille sérigraphiés et des équipements de protection individuels.

Sur le même sujet

Face à l’explosion des demandes de PMA, les CECOS dans l’inquiétude

Depuis la promulgation de la loi de bioéthique il y trois ans, les demandes d’aide à la procréation médicalisée ont explosé. En face de cette dynamique, le nombre de donneurs de spermatozoïdes, lui, est en baisse. Un constat aussi valable pour le don d’ovocytes et qui inquiète les professionnels des Centres d’études et de conservation des œufs et du sperme humain. Ces derniers n’ont que quelques mois pour reconstituer leurs banques de gamètes, désormais régies par la levée de l’anonymat des donneurs. Reportage au CHRU de Tours.

Biographe hospitalière : un métier pour mettre des mots sur les maux

Une profession méconnue et pourtant si utile. Au sein du service de cancérologie du CHRU de Tours, nous avons rencontré Florence Escriva, biographe hospitalière depuis une dizaine d’années. Son travail : écrire les histoires de vie de patients confrontés au cancer ou à la fin de vie et qui souhaitent laisser une trace derrière eux. Entre émotion et sincérité, elle a accepté de partager avec nous son parcours et son quotidien.

 Le CHU de Reims se réinvente 

Se donnant pour ambition de moderniser son offre de soins, le Centre Hospitalier Universitaire de Reims était engagé depuis 2015 dans un important projet immobilier. Terminés le 3 septembre dernier, les travaux de la première phase du Nouvel Hôpital ont laissé place à un certain nombre de nouveautés que nous vous proposons de découvrir.