Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Urgences pédopsychiatriques au coeur des XIXèmes Journées de l’AFERUP

Les 28 et 29 mars se dérouleront au Centre des congrès de St-Etienne les journées de l'AFERUP. Ces journées sont organisées cette années par le Pr Catherine Massoubre, chef du service des Urgences psychiatriques du CHU, autour du thème « enfants, adolescents et urgences psychiatriques ».

Les 28 et 29 mars se dérouleront au Centre des congrès de St-Etienne les journées de l’AFERUP. Ces journées sont organisées cette années par le Pr Catherine Massoubre, chef du service des Urgences psychiatriques du CHU, autour du thème « enfants, adolescents et urgences psychiatriques ».

L’augmentation des consultations d’urgence en psychiatrie de l’enfant et surtout de l’adolescent, ainsi que la complexité de certaines de ces situations ont fait proposer pour la 1ère fois le thème des urgences pédopsychiatriques pour les journées de l’Association Francophone pour l’Etude et la Recherche sur les Urgences Psychiatriques.
Ces consultations urgentes ne correspondent pas aux seules urgences psychiatriques, mais également aux urgences psychologiques avec leur dimension sociale éventuelle. Elles demandent une réponse adaptée, parfois déterminante pour l’avenir du patient.

Durant ces deux journées seront abordés les modes d’organisation des soins avec une réflexion autour de la nécessité ou non de dispositifs spécifiques tant hospitaliers qu’ambulatoires, le point de vue de pédiatres et pédopsychiatres d’urgence, ainsi que celui des institutions recevant des enfants et adolescents, sans oublier la place des magistrats. Certains aspects cliniques seront traités comme par exemple les tentatives de suicide, les conduites à risque, les situations de claustration à domicile et les situations médico-légales.

Ces réflexions permettront de dégager des orientations afin d’améliorer l’organisation des urgences pédopsychiatriques sur le territoire national et de favoriser une meilleure compréhension et donc collaboration entre les différents professionnels du champ sanitaire, social et judiciaire.

Sur le même sujet

Pour préserver sa fertilité, on lui déplace l’utérus au niveau du nombril

Dans le cadre de la prise en charge d’une patiente atteinte d’un sarcome d’Ewing au niveau de la cloison recto-vaginale, le Pr Cherif Akladios, chef du pôle de gynécologie, obstétrique et fertilité aux Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, a réalisé un geste spectaculaire et inédit en France. En déplaçant son utérus au niveau de son ombilic, le chirurgien et son équipe ont sans doute permis à la jeune femme de préserver sa fertilité.

« Développer la chirurgie robotique, c’est faire face à beaucoup d’embûches »

A l’occasion d’une série de reportages au CHU de Nice, nous avons suivi le Pr Matthieu Durand, chef du service d’urologie, andrologie et transplantation rénale. Ce dernier a accepté de partager sa vision sur le développement de la chirurgie robotique au bloc opératoire. Dans son service, une attention particulière est donnée à l’enseignement avec 100% d’internes formés à la robotique. Un entretien au carrefour de la formation et de l’innovation.

Dossier : le diabète

Le 14 novembre était la journée mondiale du diabète. Une maladie répandue mais complexe. Environ 537 millions d’adultes vivent avec le diabète dans le monde. En France en 2020, plus de 4,2 millions de personnes vivent avec un diabète, soit 6,1 % de la population. Le diabète est plus fréquent chez les hommes que chez les femmes, à l’exception des territoires ultra-marins où les femmes sont les plus touchées.

Face à l’explosion des demandes de PMA, les CECOS dans l’inquiétude

Depuis la promulgation de la loi de bioéthique il y trois ans, les demandes d’aide à la procréation médicalisée ont explosé. En face de cette dynamique, le nombre de donneurs de spermatozoïdes, lui, est en baisse. Un constat aussi valable pour le don d’ovocytes et qui inquiète les professionnels des Centres d’études et de conservation des œufs et du sperme humain. Ces derniers n’ont que quelques mois pour reconstituer leurs banques de gamètes, désormais régies par la levée de l’anonymat des donneurs. Reportage au CHRU de Tours.