Inhabituel dans le paysage hospitalier français, le sauvetage d'une clinique par un hôpital mérite d'être salué. A Gien, le soutien exceptionnel apporté par le Centre hospitalier régional d'Orléans permet de conserver l’activité médicale et celle du bloc opératoire de la clinique Jeanne d'Arc. Ainsi, à partir du 1er décembre 2019, les habitants du Giennois disposeront à nouveau d'une offre de proximité en chirurgie, gastro-entérologie et en chimiothérapie.
Inhabituel dans le paysage hospitalier français, le sauvetage d’une clinique par un hôpital mérite d’être salué. A Gien, le soutien exceptionnel apporté par le Centre hospitalier régional d’Orléans permet de conserver l’activité médicale et celle du bloc opératoire de la clinique Jeanne d’Arc. Ainsi, à partir du 1er décembre 2019, les habitants du Giennois disposeront à nouveau d’une offre de proximité en chirurgie, gastro-entérologie et en chimiothérapie.
Les consultations et interventions seront assurées par le CHR d’Orléans en partenariat avec le CH de Gien dans le cadre du groupement hospitalier de territoire du Loiret. Une organisation graduée de l’offre de soins est mise en place, Orléans assurant les soins de recours.
De la même manière, l’activité de maternité du centre hospitalier de Gien va aussi être confortée avec le maintien du bloc opératoire, indispensable en cas de césariennes.
De la même manière, l’activité de maternité du centre hospitalier de Gien va aussi être confortée avec le maintien du bloc opératoire, indispensable en cas de césariennes.
La clinique devient le site Jeanne d’Arc de Gien – CHR d’Orléans
Cette reprise a été rendue possible grâce à l’action conjuguée du CHR d’Orléans, du Groupe Ramsay-Santé, de l’ARS Centre-Val de Loire, des médecins de la clinique et du Comité social et économique de la clinique. L’accord a permis de conserver les personnels nécessaires au transfert et à la reprise effective du fonctionnement du bloc opératoire.
Les équipes du CHR vont accompagner les personnels et les médecins du site de Gien afin de garantir la qualité et la sécurité des soins ainsi que les conditions de travail des personnels. L’organisation des services restera inchangée. Si, à terme, des adaptations s’avèrent nécessaires, celles-ci seront décidées en concertation avec les médecins et les équipes, puis soumises aux instances de l’établissement conformément à la réglementation.
Ce projet collectif sera prochainement présenté aux professionnels de santé libéraux du Giennois et à la communauté professionnelle territoriale de santé.