SIDA et grossesse : des risques de transmission désormais minimes
Longtemps les couples dont l’un des partenaires était infecté par le virus du SIDA ne pouvaient envisager d’avoir un enfant. Il risquaient de transmettre le virus à l’enfant et très peu de centres leur proposaient un procréation médicalement assistée. En France, le CHU de Toulouse a été l’un des tout premiers CHU à répondre à la demande des couples dont l’homme était infecté par le virus du SIDA. Dès la fin des années 90, plusieurs équipes toulousaines se sont investi pour que le projet parental des personnes séropositives devienne réalité


