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Sécurité – Cybersécurité

Derniers articles

A Tours, une mission nationale de surveillance des infections associées à l’usage des DM intravasculaires

L’Agence Santé Publique France vient de désigner le Réseau des hygiénistes du Centre-Centre d’appui à la prévention des infections associées aux soins (RHC-CPIAS), dont le siège se situe au CHU de Tours, comme porteur d’une mission nationale de surveillance et prévention des infections associées à l’usage des dispositifs médicaux (DM) intravasculaires (cathéters).

Des robots à la pharmacie du CHU de Tours

Le CHU de Tours vient d’inaugurer un système automatisé de délivrance globale des médicaments au sein de l’établissement. Ces équipements de haute technologie sécurisent et centralisent la délivrance des médicaments dans les différents sites de l’établissement. Un pas de plus vers le CHU numérique…

Urgences : les vérifications croisées entre médecins réduisent de 40% le risque d’erreurs

Il est possible de réduire de 40% le taux d’erreurs médicales aux urgences en instaurant trois vérifications croisées entre médecins de 10mn chacune. Cette recommandation émane des conclusions de l’étude française CHARMED (1) qui vient d’être publiée dans JAMA Internal Medicine. Promue par l’AP-HP et financée par le Programme hospitalier de recherche clinique national, la recherche a été menée dans 6 services d’urgences, 5 de l’Assistance Publique de Paris et 1 du CHU de Grenoble a porté sur 1 680 dossiers. Un travail pionnier ! Explications…

Responsabilité civile médicale: le Groupe Sham exporte son expertise hospitalière

«La croissance du Groupe Sham est pour la première fois portée en priorité par notre développement international», analyse Dominique Godet, son directeur général. Avec 829 M€ de primes collectées et un chiffre d’affaires de 439 M€ pour 2017, le Groupe du 1er assureur en responsabilité civile médicale français affiche une croissance de 15%. De bons résultats portés essentiellement par le développement de l’activité du groupe sur le marché européen alors que le CA en France accuse une baisse de 2%.

Radioprotection : formation des professionnels par la simulation à Caen

L’apprentissage immersif par la réalité virtuelle : une solution pratique et sûre pour enseigner les principes de bases de la radioprotection aux équipes qui interviennent en imagerie, radiologues, cardiologues, chirurgiens, manipulateurs, infirmières… En plein essor, les actes de radiologie interventionnelle (RI) diagnostiques ou thérapeutiques sont réalisés sous guidage et sous contrôle de l’imagerie par rayons X exposant les opérateurs aux rayonnements ionisants. Pour leur sécurité, la réglementation leur impose une formation aux fondamentaux de la radioprotection, tous les trois ans. Or, cette formation peut se heurter à de nombreux obstacles, et en particulier à la difficulté de réaliser des enseignements pratiques et sûrs. L’apprentissage immersif par la réalité virtuelle représente la solution idéale. Et c’est tout l’intérêt du simulateur em.sim© développé au CHU de Caen. Ludique, concret et sur à 100%, il va initier les 700 professionnels concernés et les internes aux arcanes de la radioprotection..

Front commun pour la sécurité à l’hôpital : la justice et les forces de l’ordre aux côtés du CHU de Rennes

Prévention de la délinquance ou du risque terroriste, lutte contre les violences et incivilités.. « Etre en sécurité au CHU, quand on y travaille ou qu’on s’y fait soigner » est un droit. Pour assurer la sûreté de l’établissement, le CHU de Rennes, les forces de l’ordre et le Ministère de la justice viennent de signer un protocole d’accord.

Diffusion des fiches internes du CHU de Toulouse : un « non événement » selon la FHF Occitanie

Pour la FHF Occitanie*, les critiques portées à l’encontre des fiches de signalement d’événements indésirables diffusées dans la presse relèvent d’une « instrumentation simpliste » et d’une méconnaissance « des obligations légales » auxquelles sont soumis les établissements. C’est un « non événement ». Analyser, traiter les causes des événements indésirables comme le fait le CHU de Toulouse relève aussi ‘d’un principe éthique qui permet de comprendre pour agir’.

Fiches de signalement d’évènements indésirables : supports d’une démarche qualité exigeante assumée au CHU de Toulouse

Le 2 avril, Médiacités 2018, site d’investigation dédié aux grandes métropoles, a alerté l’opinion publique sur des dysfonctionnements graves au sein du CHU de Toulouse. Pour dénoncer cette situation il s’est procuré plus de 26.000 fiches émises en interne par les personnels du CHU de Toulouse, entre septembre 2013 et mars 2017. Pour la presse « cette fuite inédite de documents confirme la situation plus qu’inquiétante de l’hôpital toulousain ». Le « CHU Leaks » relayé par les médias a fait grand bruit et la voix du CHU de Toulouse a été peu entendue. Le 4 avril, la direction générale s’est notamment expliquée sur France Bleu « Non le CHU de Toulouse ne va pas craquer » et auprès du Quotidien du Médecin. Le 6 avril elle adressait un communiqué démentant point par point le fait que ces fiches soient synonymes « de mise en danger de la vie des patients, de problèmes techniques en série ou de manque de personnel criant » comme le relataient les médias.

Le CHUGA inaugure sa nouvelle stérilisation

Opération majeure du Nouveau Plateau Interventionnel du CHU Grenoble Alpes, le transfert de la stérilisation au rez-de-chaussée haut de l’Hôpital Michallon a permis le complet renouvellement des équipements de ce service indispensable jouant un rôle déterminant dans la sécurité du patient. Explications

Le CHU de Nîmes anime le débat sur la sécurité des hospitaliers

La 1re journée d’échange du Club des directeurs et conseillers sûreté des établissements hospitaliers s’est tenue ce 14 décembre au CHU de Nîmes (CHUN). Une communauté d’experts au service des établissements hospitaliers réunie pour partager ses réflexions, ses expertises et ses savoir-faire face à des enjeux de sécurité de plus en plus complexes. Cette première rencontre s’est faite en présence de Vincent Terrenoir, délégué pour la Sécurité générale à l’Observatoire national des violences en milieu de santé (Direction générale de l’offre de soins) et de Christophe Perrin, chef du service d’Animation des politiques de sécurité intérieure (Direction des sécurités) à la Préfecture du Gard. Thierry Gaussen responsable du service Sécurité des Biens et des personnes (SSBP) du CHUN, co-fondateur du Club revient sur les enjeux de cette initiative.