CHU Limoges

Présentation

Avec des équipes de forte compétence (6 500 professionnels) et son plateau technique de pointe, le CHU de Limoges est un haut lieu d’expertise dans le soin, l’enseignement et la recherche.

Acteur majeur de son territoire, il assure une offre de soin d’excellence, de proximité et de recours, au sein du Groupement Hospitalier de Territoire du Limousin (18 établissements).

Le CHU de Limoges est composé de 4 hôpitaux : le CHU Dupuytren 1, le CHU Dupuytren 2, le CHU Jean Rebeyrol 1 et 2, l’hôpital de la mère et de l’enfant et le Centre de gérontologie Chastaingt.

Il dispose de 6 centres de références maladies rares et de 40 centres de compétences.

Grâce à une étroite collaboration avec l’Université de Limoges, le CHU de Limoges s’investit pleinement dans la recherche et l’enseignement.

Ses équipes mènent actuellement plus de 1 000 études cliniques. Cette recherche s’appuie sur le Centre d’Investigation Clinique, les 4 unités labellisés Inserm et les 3 unités d’accueil GEIST, ainsi que sur le Centre de Biologie et de Recherche en Santé

Le CHU de Limoges est un acteur majeur dans la formation des professionnels soignants et médicaux de demain. Ses 8 écoles et instituts de formations sont regroupés au sein d’un campus des formations sanitaires hospitalo-universitaire d’enseignement et de recherche. La proximité géographique avec les facultés de médecine et de pharmacie fait du CHU, un hôpital d’application pour la formation des futurs médecins.

Son centre de simulation en santé Inspears permet d’assurer la formation initiale des étudiants et la formation continue des professionnels, mais aussi, de développer la recherche autour de techniques de soins innovantes.

Tourné vers l’avenir, le CHU de Limoges a entamé un vaste programme de modernisation. Cette opération d’ampleur est destinée à améliorer la qualité d’accueil et le parcours de soins pour les patients, mais également les conditions de travail de ses professionnels.

Infos pratiques

http://www.chu-limoges.fr/

CHU Limoges

2, avenue Martin Luther-King
87042 Limoges cedex

05 55 05 55 55

Direction de la Communication

05 55 05 63 51
maite.belacel@chu-limoges.fr

Gouvernance

Directeur Général, Président du Directoire :
Jean-François Lefebvre

Directeur Général Adjoint :
Jean-Christophe Rousseau

Présidente du Conseil de Surveillance :
Madame Hélène Pauliat

Président de la Commission Médicale d’Etablissement :
Pr Jean-Yves Salle

Vice-Président de la Commission Médicale d’Etablissement :
Dr Hugues Caly

Facultés

Directeur de l’unité de formation et de recherche (UFR) de médecine :
Professeur Pierre-Yves Robert

Directeur de l’unité de formation et de recherche (UFR) de pharmacie :
Professeur Jean-Luc Duroux

Tous les articles du CHU Limoges

Le CHU de Limoges, poumon du Limousin

908 M€. Tel est le montant de l’impact direct, indirect, et induit du CHU de Limoges, poumon de la région. Une étude menée en partenariat avec la CCI de Limoges et de la Haute-Vienne démontre le poids économique et social de l’établissement dont le budget s’élève à 500 M€ en 2014. « 1€ dépensé dans le CHU en rapporte 2€ à l’économie régionale ». Explications

1ère implantation mondiale d’un sternum en céramique

Le 19 mars 2015, un sternum complet en céramique d’alumine poreuse CERAMIL a été implanté sur une patiente atteinte d’un cancer. Cette première mondiale réalisée par le docteur François Bertin s’est déroulée avec succès au CHU de Limoges. Le CHU et I.CERAM, spécialiste des implants en céramique, se félicitent de cette prouesse chirurgicale qui utilise une technologie 100% biocompatible et réhabitable. Cette innovation porte à 102 le nombre de 1ères mondiales signées par les CHU de France.

Allergies : avancée scientifique de 1er plan par des chercheurs limougeauds

Des chercheurs du CNRS, de l’Inserm, de l’université et du CHU de Limoges, sont à l’origine d’une découverte essentielle dans le traitement des allergies « la production d’immunoglobulines de type E (IgE) par les lymphocytes B induit une perte de leur mobilité et l’initiation de mécanismes de mort cellulaire ». Il s’agit là d’une avancée dans la connaissance du mécanisme de restriction de la production d’IgE pour éviter une réaction allergique.