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Allergie

Derniers articles

Une équipe de l’APHP met au jour l’implication d’un nouveau gène dans le syndrome hyper-IgE

Le syndrome hyper-IgE (HIES) est une maladie génétique rare du système immunitaire, présente dès la naissance qui entraîne notamment une vulnérabilité à des infections fongiques et bactériennes. Les travaux menées par l’équipe du Dr Anne Puel, dans le laboratoire du Pr JeanLaurent Casanova et du Dr Laurent Abel à l’Institut Imagine, à l’hôpital Necker Enfants malades, AP-HP et au New York Rockefeller Institute révèlent l’implication d’un nouveau gène ZNF341 dans cette maladie. Ces résultats ont fait l’objet d’une publication dans la revue scientifique Science Immunology.

A la découverte du cocktail asthmatique

Avec plus de 3 millions de personnes souffrant d’asthme et des projections à la hausse dans tous les pays développés, l’asthme est un enjeu majeur de santé publique. Son apparition est liée à des prédispositions génétiques mais également à l’exposition environnementale. Pour déterminer avec précision les facteurs biologiques environnementaux présents au domicile et impliqués dans le développement de l’asthme, le service de parasitologie mycologie du CHU de Besançon a coordonné deux études à cinq ans d’intervalle sur la même population de nouveau-nés devenus enfants. A terme, ces données pourraient permettre de disposer d’informations suffisamment précises pour imaginer et concevoir un test diagnostic intérieur rapide et portatif.

Allergies : avancée scientifique de 1er plan par des chercheurs limougeauds

Des chercheurs du CNRS, de l’Inserm, de l’université et du CHU de Limoges, sont à l’origine d’une découverte essentielle dans le traitement des allergies « la production d’immunoglobulines de type E (IgE) par les lymphocytes B induit une perte de leur mobilité et l’initiation de mécanismes de mort cellulaire ». Il s’agit là d’une avancée dans la connaissance du mécanisme de restriction de la production d’IgE pour éviter une réaction allergique.

Allergies : une chambre d’exposition unique en France

Strasbourg va se doter d’un équipement de recherche d’exception : une chambre d’exposition aux allergènes dite aussi à provocation allergique. Un investissement de 2, 7 M€ pour cette infrastructure de 350 m2 de surface utile, dotée d’une chambre d’exposition aux allergènes de 65m2 pouvant accueillir jusqu’à 20 patients.

Protection des allergies en milieu rural : Besançon fortement impliqué dans une étude européenne

Depuis dix ans, l’étude PATURE, coordonnée en France par le Pr Jean-Charles Dalphin, chef du service pneumologie du CHRU de Besançon, s’intéresse au suivi des nouveau-nés demeurant en zone rurale, afin de déterminer quelles substances présentes en milieu agricole protègent des allergies. Principal constat : les enfants nés et élevés dans une ferme sont moins allergiques que ceux qui grandissent à la campagne et en ville.

Ambroisie : niveau de risque élevé alerte le CHU de Nimes

Avis aux personnes allergiques « Les premiers pollens d’ambroisie viennent d’être identifiés sur le capteur de Bagnols sur Cèze et il est temps de mettre en place les traitements nécessaires » prévient le CHU de Nîmes. Les personnes ayant commencé une désensibilisation, traitement de prévention efficace contre cette pollinose, devront attendre les premiers signes cliniques pour démarrer le traitement symptomatique.

Tatouages au henné noir : l’alerte des allergologues

Tradition festive devenue art corporel : le Mehndi, tatouage au henné marron ou orange, inoffensif lorsqu’il est réalisé au henné pur présente des risques sévères d’allergie lorsque les tatoueurs rajoutent de façon illégale de la paraphenylènediamine (PPD)* pour obtenir une teinte plus foncée et augmenter la longévité du tatouage. En effet le “henné noir” provoque des réactions allergiques parfois violentes nécessitant une intervention médicale urgente voire une hospitalisation. De un à deux cas par mois, l’incidence des allergies au henné noire augmente en période estivale et les allergologues du Centre Hospitalier Lyon Sud (Hospices Civils de Lyon) ont même ouvert consultation et des places d’urgence en cas de réaction à un tatouage éphémère.